Mon Master sous les projecteurs : les universités dressent le bilan pour la rentrée 2023 !

Mon Master sous les projecteurs

Alors, comment s’est passée ta rentrée universitaire en 2023 ? Tu te souviens peut-être que l’année dernière, on parlait beaucoup de la plateforme Mon Master et des changements qui étaient prévus. Eh bien, on a quelques nouvelles à partager avec toi !

Tout d’abord, il est temps de faire le point sur ce que les universités pensent de cette nouvelle procédure de Mon Master, maintenant qu’elle a été mise en place pendant une année complète. Nous avons assisté à des conférences de presse de rentrée dans les établissements, et voici ce que nous avons découvert.

Pas de place pour tout le monde, mais des solutions rapidement trouvées

Eh bien, comme on pouvait s’y attendre, toutes les formations n’ont pas fait le plein en septembre. Malgré des recrutements complémentaires en urgence, il y avait encore quelques places vacantes. Cela a rendu la procédure un peu plus compliquée pour certains, surtout pendant l’été.

Prenons l’exemple de l’université de Poitiers, où ils ont dû organiser une phase complémentaire en juillet pour combler les places vacantes. Finalement, le recrutement pour les masters à Poitiers est resté à peu près dans les mêmes proportions qu’avant la réforme. Le constat est similaire du côté de l’université de Bourgogne, qui attribue actuellement environ 200 places en phase complémentaire.

À l’université Clermont Auvergne, certains masters sont complets, surtout dans les filières en demande comme la psychologie, le droit privé et la finance. La plupart des autres masters ont trouvé un équilibre, et cela a permis aux étudiants de mieux planifier leur déménagement si nécessaire.

Moins de problèmes avec les saisines des rectorats

Une bonne nouvelle : le nombre de saisines des recteurs a diminué dans plusieurs universités, comme au Mans, à Clermont Auvergne et à Lyon-II. Moins de cas à gérer, c’est un soulagement pour ces universités. Par exemple, à Lyon-II, ils ont réussi à réorienter 20 étudiants de la psychologie vers les sciences de l’éducation, où il restait des places.

Cependant, en Nouvelle-Aquitaine, la situation est plus complexe. Environ 250 étudiants en attente de places en master avaient saisi leur rectorat fin septembre, ce qui a demandé beaucoup d’efforts supplémentaires au personnel.

Des perspectives positives pour l’avenir

Alors, que peut-on attendre pour l’avenir de Mon Master ? Il y a déjà des idées pour améliorer la plateforme, notamment en rendant le processus plus convivial et en révisant le calendrier. La bonne nouvelle, c’est qu’une phase complémentaire nationale sera mise en place dès 2024, ce qui devrait simplifier les choses.

L’organisation du recrutement en alternance va également être revue, avec un calendrier plus adapté. Cela devrait aider les candidats qui étaient dans l’attente à prendre des décisions plus rapidement.

En conclusion, Mon Master évolue progressivement pour rendre le processus d’orientation plus fluide et efficace. Alors, ne t’inquiète pas si tu as rencontré des défis cette année. Les améliorations sont en route, et l’avenir s’annonce prometteur !

Nous espérons que ces informations t’ont été utiles. N’hésite pas à partager ton expérience avec nous. Bonne chance pour cette année universitaire !

(A retrouver en intégralité sur AEF info)